White Hills – Frying On This Rock

Evidement, on entend surtout la guitare électrique, puis la basse répétitive d’ buy Gabapentin for dogs online Ego Sensation, ensuite la batterie et enfin les voix,  gavées de réverbération. L’autre jour, je me suis retrouvé dans le quartier de la Madeleine. C’était le matin, il devait être 9h30. A la vue des rues propres, des bistrots, des magasins bourgeois, des touristes avec leur petite thermos de café lavasse, je me suis dit que Paris était définitivement devenue un musée. Pour oublier ça je me suis mis à marcher en écoutant le dernier disque de Four Corners White Hills, « Frying On This Rock ».

Evidement, on entend surtout la guitare électrique, puis la basse répétitive d’ Ego Sensation, ensuite la batterie et enfin les voix,  gavées de réverbération. Les rythmes sont hypnotiques et martiaux, Robot Stomp porte bien son nom. Pourtant ce n’est pas le genre de titre que j’aime écouter en ce moment. Il m’arrive souvent de passer au titre suivant. Mes oreilles sont assaillies par ce jam psychédélique. La distorsion est chargée. Ca passe bien avec le soleil qui réchauffe un peu. Plus tard, je passerais le vinyle, rose, le volume à fond. You Dream You See.

( ♫ ) White Hills – You Dream You See

Evidement, on entend surtout la guitare électrique, puis la basse répétitive d’Ego Sensation, ensuite la batterie et enfin les voix,  gavées de réverbération. Depuis le début de la semaine ce disque tourne en boucle. Peut être que j’avais besoin de ce son simple et puissant. Peut être que la formule est connue, mais le power trio demeure un classique que je trouve toujours imparable. Peut être que j’avais besoin d’entendre la guitare saturée de Dave W. Peut être qu’il me fallait ça pour sortir de ces deux dernière semaines épuisantes. Peut être que le break calme de Song Of Everything me rappelle le second titre qu’ont joué les White Hills, à leur dernier concert sur Paris, au Glazart.

Evidement, on entend surtout la guitare électrique, puis la basse répétitive d’Ego Sensation, ensuite la batterie et enfin les voix,  gavées de réverbération. Tout ça sent la sueur, le sexe, l’alcool et une certaine classe. Du moins c’est l’impression que j’en avais quand je les ai vu jouer l’autre soir. Bon, allez quoi ! Il reste encore un peu de temps libre, on remet le vinyle sur la face A. Je m’allonge sur le canapé et je profite encore de ces riffs si bons à écouter. Tant qu’à faire, ça sonne presque comme un labyrinthe sonore dans lequel je pourais me perdre à jamais …

( ♫ ) White Hills – Pads Of Light

Par Mathieu

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