//Sur la table on peut voir quelques laptops, des pads, des boites à rythmes, des filtres, des câbles qui s’entremêlent, un synthétiseur qui ronfle, des samplers qui clignotent. Le morceau dure dix minutes.  Au début on remarque surtout quelques beats bourdonnants et des basses terriblement compressés. class Aaa

def c
$l=42;$i = 0;while $i<$l do puts"aADZDE ;;ZDCsqdf^fke ;zofj,ezi,dei ;,i04921"; $i+=1; end
end
end
c = Aaa.new
c.c

/* Chaque titre du dernier Autechre me fait penser à une sous-routine développée par un programmeur http://landmarkinn.com/?plugin=calpress-event-calendar fou (image approximative.)

Il y a pourtant facile de se laisser forebodingly embarquer par ces compositions itératives. J’ai même l’impression de voir une certaine forme de

chaleur au milieu de ces rythmiques complexes. */

En particulier celles de Bladelores.

( ♫) Autechre – Irlite (get 0)

#!/bin/bash

En ce moment j’aime bien écouter irlite(get 0)

#La composition semble avancer comme une boucle itérative dont on ne serait

# prédire le comportement

Au début on se laisse facilement prendre par le delay appliqué sur le snare drum. On se raccroche vite aux quelques phrases de synthétiseur que l’on entend par instant(…)

echo "Je me dis parfois que c’est de l’electro pour faire danser le cerveau (cliché.)"> dededazfbzgbezofz.ngirengz

Ca doit venir du fait que j’ai écouté plusieurs fois Cloudline dans le métro. Certaines ambiances donnent l’impression d’avoir été séquencées en débuggant un peu de code avec SuperCollider (terminologie.)

(definst b [f 220](saw f))(b 110)(b 220)(b 330)
A un moment, je ne sais plus. J’essaie de réfléchir, mais je crois que je ne comprends plus trop où ça va. Alors je reste là, assis sur le canapé. C’est la nuit et on se laisse facilement envelopper par les basses compressées de l’immense YJY UX. Et ça s’arrête d’un seul coup, comm
public class u {public static void main(String[] args){System.exit(255);}}

( ♫) Autechre – YJY UX

Par Mathieu