Le dernier album de Yo La Tengo est essentiellement constitué de reprises, il y a aussi des relectures acoustiques de All Your Secrets, The Ballad Of Red Buckets et Deeper Into Movies.
Le dernier album de Yo La Tengo contient aussi deux nouveaux titres qui font énormément penser aux compositions de « Fakebook », d’ailleurs le guitariste David Schramm est exceptionnellement de retour.
Le dernier album de Yo La Tengo est sûrement moins aventureux que « Fade », mais qui pourrait résister à cette version de Friday I’m In Love, titre que je ne peux m’empêcher d’écouter tous les matins avant d’aller travailler, parce que, oui, c’est du vendredi dont je suis amoureux.
Le dernier album de Yo La Tengo contient juste ce qu’il faut d’ambiances boisées pour ce début d’automne et c’est plutôt une bonne nouvelle, même si je n’en attendais pas moins d’un disque de Georgia, Ira et James.
Le dernier album de Yo La Tengo est une fois de plus l’occasion d’entendre chanter Georgia Hubley et Ira Kaplan, qui ont pu garder cette innocence malgré une assurance acquise de disque en disque.
Le dernier album de Yo La Tengo me donne envie de relire « Big Day Coming », leur biographie écrite par Jesse Jarnow, histoire de me rappeler de quelques détails touchants que j’ai déjà oubliés.
Le dernier album de Yo La Tengo me donne aussi envie de réécouter l’intégralité de leurs disques, même si je connais déjà par cœur « Painful », « I Can Hear the heart beating as one » et aussi « Electr-o-pura ».
Le dernier album de Yo La Tengo me donne aussi envie de faire de la musique, même si je n’ai pas trop le temps en ce moment, je me dis que ce n’est pas grave, je m’y remettrai tranquillement plus tard.
Le dernier album de Yo La Tengo est plein d’amour de tendresse et ça tombe bien, c’est de ça dont nous avons indéniablement besoin en ce moment.
Mathieu